Oui, cela ressemble à un article précédent…mais :
- C’est tout simplement parce que, j’adore accueillir mes amis, des quatre coins du monde, ici à Paris > un des avantages de vivre à Paris 🙂
- Chacun d’entre eux, de passage à Paris, est à l’honneur (j’en ai fait une petite tradition)
- Des quatre coins du monde, mais souvent outre Atlantique, et surtout où : l’on peut chasser les noms de nos stars favorites en se promenant sur ce boulevard de renom, l’on trouve une Statue vedette éprise de liberté ! Bref, ce pays où l’on parle d’American Dream. Et du coup, j’en tire des conclusions (ce lien, cette attache est unbreakable 😉 )
- Cet article, celui-là, sera (est, en fait) en français
**Réflexion** (Passez directement à **La petite astuce : MBTI** pour la pratique)
Zeni, incarne parfaitement la jeune femme de nos jours. Le 8 septembre 2018 fut la première fois que je la rencontrai. Mais déjà, notre hug chaleureux de bienvenue à l’aéroport parisien de CDG (Charles de Gaulle), surnom qu’on lui attribue dans le “jargon voyage” (très prétentieux…), révélait à la fois la “proximité” amorcée virtuellement, et celle qui allait suivre jusqu’à la fin de son court séjour, et au-delà. Notre rencontre physique avait des allures de retrouvailles.
Je dois dire que, c’est le cousin d’un ami parisien (qui n’est plus…ça, c’est la partie la plus triste…), devenu ami, qui nous a mises en relation, Zeni et moi. Zeni étant l’amie de ce cousin. Bref ! Je trouve toujours drôle de mentionner ce méli-mélo de personnes, ce chemin, parfois sinueux, qui nous amène à une personne en particulier, pour répondre à la fameuse question “Comment vous êtes-vous connu(es) ?”, que j’aime tourner de cette manière “Comment vos chemins se sont croisés ?”. Car il s’agit bien de ça et c’est essentiel. Comment deux personnes, résidant, à l’autre bout du monde l’une de l’autre, Paris / San Francisco, finissent par se rencontrer ? Le “méli-mélo” est un outil de connexion humaine puissant, ne le négligez, jamais ! Il paraît qu’on appelle cela du networking, mais je trouve que ça fait trop business. Deuxième étape, après, je dois bien le dire, pour être plus réaliste, merci Internet, formidable outil (technologique) de connexion …
Vous l’avez compris, Zeni, nous vient de San Francisco. Son sourire, elle le porte à merveille, il fait des ravages, je suis sûre de cela au moment où je la vois. C’est ce qui me saute aux yeux, attire mon attention, d’abord. C’est ce que je retiens aussi, d’elle, visuellement, son sourire m’a marquée. C’est ce sourire contagieux, aussi.
Elle est énergique et cette énergie est communicative. C’est à travers le pas affirmé avec lequel elle se dirige, en ma compagnie, vers le quai du train, qu’on le ressent notamment, ou encore, à la joie et l’excitation que j’ai pu déceler dans ses yeux et sa voix. Une voix mûre, en harmonie avec ce début de portrait.
Elle est ravissante dans toute sa dimension, qui m’apparait à présent plus clairement, au moment où j’écris. Ce qui me fascine c’est ce contraste, si l’on peut l’appeler ainsi.
Imaginez une “jeune cadre dynamique” (ahah, j’entends cela souvent) américaine, vivant dans une région ultra “dynamique” (répétition voulue), indépendante [on ne peut le deviner en un coup d’œil, il faut un œil très observateur, aguerri, doublé d’une intuition développée, de l’expérience du contact humain, sociale…ou tout simplement, en faire l’expérience, au sens de ce que l’on ressent et vit avec une personne = to experience someone, sans prétention,ça se dit ça en français ?]
…que dissimule un look décontracté, celui d’une baroudeuse, en quête de nouveaux horizons européens. Car cela, elle me l’a confié, je n’irai pas plus loin donc.
Peut-être que la Californie fait cela, elle “produit” des individus rayonnants, à l’image de ce qu’elle est. J’en ai un autre “échantillon” ici, de ce phénomène. De temps en temps, que sais-je, j’ignore à quelle fréquence, le Gold state crée (accueille aussi) des esprits rebelles (aventuriers, explorateurs, originaux, marginaux) qui, malgré un agréable lifestyle, ne s’en contentent pas et cherchent désespérément à se dépasser, à sortir de leur zone de confort. Une cause noble. Ou peut-être un caprice. Étrangement, ce sentiment m’est familier. J’ai toujours cru en cette admiration mutuelle, la vie dans une grande ville américaine versus la vie parisienne, Zeni me le confirme ; ce fantasme d’une vie (meilleure) ailleurs, cette idéalisation fait l’objet de nos premiers sujets de conversation. Il y a toujours matière à discuter là-dessus. Inépuisable. Je m’en suis convaincue.
A travers Zeni, je me remémore … des lieux, des sensations, des émotions.
Vous trouverez sans doute curieux, cette façon de parler d’une personne, et pourtant, explorer l’identité des personnes que je rencontre, c’est ce qui m’anime. Puis découvrir ce qui nous unit, nos ressemblances, nos différences. Une véritable source d’inspiration pour moi.
**La petite astuce : le MBTI**
Justement, nous avons cela en commun. Une sorte de passion pour les relations humaines.
Et c’est autour d’un lunch Chez Gladines à Châtelet, un jour de semaine, que nous nous sommes retrouvées, Zeni, Vanessa et moi, autour d’un sujet fort intéressant, qui nous concernaient toutes trois (et toutes et tous) : le Myers-Briggs Type Indicator ou encore le test des 16 personnalités.
Aaaah, ma chère Vanessa. Nous nous sommes rencontrées autour d’une passion commune (encore une !), un pays : Haïti, mais aussi …les voyages et l’expatriation ! C’est tout naturellement que je l’ai invitée. Au final, le Trio idéal ! Entre les salades très généreuses de ce restaurant, qu’on a eues du mal à terminer, et nos échanges , c’était ce que j’appellerais une après-midi bien remplie.
C’est notamment grâce à Zeni que j’avais découvert ce test. Il est constitué pour être rapide (moins de 12 minutes) et efficace, dans le sens où, il faut répondre le plus sincèrement et naturellement possible. Pas étonnant qu’on se retrouve dans le résultat final (j’en ris car énormément de mes proches et de personnes de mon entourage s’y sont reconnus). Ce dernier est un type auquel on correspond, parmi 16 au total. Il permet d’identifier entre autres : nos forces et points à améliorer, notre conception des relations amicales et romantiques.
C’est un outil (encore un…) que je conseille vivement à plusieurs niveaux.
- sans surprise, d’un point de vue développement personnel : (presque) tout ce qui peut aider à mieux se connaître, je valide ! Et se connaître, c’est faire des choix en conséquence, n’est-ce pas la clef du bonheur ?
- d’un point de vue professionnel : il m’a personnellement bien aidée, alors que je me posais énormément de questions sur mon parcours professionnel, à explorer des pistes qui correspondent à mon type. Ou tout simplement à confirmer mes idées …
- d’un point de vue relationnel : allez j’avoue, je m’en sers (un peu) pour comprendre les personnes de mon entourage, et c’est bien marrant, surtout que beaucoup d’entre nous se prêtent au jeu avec enthousiasme !
- A partager, donc !